Ma première rencontre avec la musique de The Apartments est très tardive. Elle date d ‘il y a seulement 3 ans. Malgré le fait d’avoir connu une bonne partie de la scène alternative australienne des années 80 et 90s, je ne sais pas pour quelle étrange raison The Apartments sont passés dans le filet de ma discothèque.
Certainement pas une question de mauvaise chance, car la chance, selon Peter Milton Walsh n’existe pas. Il nous dit que la vie est un casino. Il y a des gens qui gagnent et des gens qui perdent. J’ai donc gagné un gros lot lorsque Microcultures a sorti “No Song, no Spell, no Madrigal” en 2015. C’était comme voyager dans le temps et pouvoir découvrir un trésor. Non seulement cette album là, mais toute une discographie. Je me suis senti comme un adolescent qui découvre un groupe qui le marquera à vie.
Nous voilà dans un loft en proche banlieue parisienne entouré de fans et des amis de Peter Milton Walsh. L’accueil et chaleureux, le concert intense, intimiste et touchant. Mention aux autres membres de The Apertments, Antoine Chaperon et Natasha Penot. Peter, enchaînait les morceaux avec des anecdotes de sa vie, entre l’Australie et New York.
Nous sommes partis de l’appartement pas seulement avec le souvenir d’un excellent concert mais aussi avec la joie d’avoir fait des belles rencontres -et tout soit dit, un excellent buffet dans le ventre- 🙂
Félicitations à Life is a Minestrone et aux hôtes pour avoir organisé cet événement.